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Par gilwro le 30 Juin 2012 à 22:10
CE MOIS-CI
Travaux du mois
Vidéo avec les premières fleurs
Photos hier et aujourd'hui
Encore un mois passé avec une météo catastrophique. Nous n'avons pratiquemment pas eu plus de 2 jours de soleil consécutif. Ce qui est dramatique Rappellez-vous le dicton " S'il pleut à la St Médart, il pleuvra jusqu'à 40 jours plus tard, à moins que Barnabé ne lui coupe l'herbe sous le pied". Et comme il a plu à la St Barnabé, fin juin ça s'avère exact. Reste les 15 jours de juillet pour clore les 40 jours et confirmer ce que disait nos anciens.
En tout cas, cela ne m'a pas empêché de travailler. Le terrain est clos, le portail et le portillon sont posés et mon abri en tôle est monté.
Je suis très content d'avoir cloturé d'autant qu'au début du mois un chevreuil est venu me saccager un jeune cerisier
Pour une raison d'esthétique, j'ai installé l'abri en tôle sur la partie arrière ombragée et très humide. Malheureusement je n'arrive pas à trouver la solution pour enrayer l'humidité à l'intérieur de l'abri, je crains que le matériel va énormément souffrir.
J'ai prolongé de 6/7 mètres le fossé jusque le façade par crainte de trop d'humidité pour mes bambous nains (Pleioblastus fortunei 'Variegata et Pleioblastus viridistriatus Auricoma ). J'en ai profité pour faire une barrière anti-rhizome en tôle pour limiter l'envahissement.
Je suis un peu déçu de mon potager, bien que la surface n'est pas grande, une bonne partie n'est pas cultivée. Il faudra mieux réfléchir à l'agencement l'année prochaine.
Heureusement que les fleurs ont commencé à apparaître. La preuve en images.
Une séquence photos entre hier et aujourd'hui
Novembre 2011
Novembre 2011
Novembre 2011
novembre 2011 Février 2012
Mars 2012
Février 2012 Mars 2012
Novembre 2011 Mars 2012
Décembre 2012
Mars 2012
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Avril 2012
Février 2012
Novembre 2011
Mars 2012
Mai 2012
Juin 2012
107 commentaires -
Par gilwro le 6 Juin 2012 à 21:14
Et dire qu'il faut être à la retraite pour travailler du matin au soir, pratiquement tous les jours de la semaine. Mais comme on dit "Quand on aime on ne compte pas".
La météo a été encore capricieuse en mai et la végération a pris beaucoup de retard. Nous avons eu plusieurs fois 0° même au delà des saintes glaces. La très ancienne expression "Il n'y a plus de saison" est cette année plus que d'actualité.
Plusieurs voyagent avec une petite remorque ont été nécessaire pour apporter les pierres pour terminer le muret
Le mur, la descente de droite sont enfin terminé. Les poteaux en accacias n'attendent plus que le grillage.
L'année prochaine je pourrai savourer les fruits de ma haie gourmande
Le potager est beaucoup plus petit que mon précédent. J'ai décidé de recouvrir d'une grosse épaisseur de tonte de gazon toute la surface non cultivé. Je n'arrive pas en enrayer l'invasion de mauvaises herbes. Le terrain à été trop longtemps à l'abandon. Et passer la motobineuse risquerait de multiplier les racines. Donc lorsque j'ai un sillon à faire, c'est la bêche et l'huile de coude.
Pour complèter la haie gourmande, j'ai planté quelques pieds de fraisiers retombants. Comme ils sont situés en haut du muret le long du chemin, je me suis empressé de poser le grillage pour éviter les mains baladeuses.
Reste a fabriquer les 2 portails, et encore environ 50 mètres de grillage à poser sur les 200 pour clore totalement le terrain.
J'ai trouvé un abri en tôle qui sera monté au fond a droite dans la partie boisée. J'ai hâte qu'il soit monté afin de faire un peu de rangement dans le terrain.
Le résultat des semis à été catastrophiques. Le manque de soleil en est la raison
Plantation d'un cornus Alba Sibirica dans la zone arrière humide. Les plantations ont été les tâches les plus difficiles en raison de l'état du terrain. Et d'ailleurs dans cette zone le nettoyage est impossible, je me contente de rendre propre que le trou pour la plante.
J'aime beaucoup les paillis, pour l'esthétisme et surtout ralentir les mauvaises herbes
Il s'agit de tiges bien entendu sèche de roseaux. Il suffit de les étaler au sol, passer la tondeuse pour récupérer le paillis dans le bac.
pied de Miscanthus Sinensis
Oeillets de poêtes
Phalaris Arundinacéa, une graminée très robuste
Certains peuvent rire pour la taille de mon Gunnera, mais j'espère avoir, dans 3/4 ans des feuilles de plus d'un mètre de diamètre
Le pied de tanaisie commence a bien se développer. Devant des pieds d'Holcue Mollis (Graminées) et derrière un pied de Sedum Spectabile.
Le coin des aromates avec en premier plan à droite mes pires ennemis, les prêles (Queue de renard). Plantes de zone marécageuse. En arrière plan le terrain en friche en est envahi ainsi que des orties.
4 commentaires -
Par gilwro le 4 Mai 2012 à 20:46
En relisant mon commentaire du mois de mars, je ne peux m'empêcher de sourire, les mois de grandes activités au jardin se suivent et se ressemblent, et la fatigue est de plus en plus présente mais la satisfaction est toujours présente, c'est ce qui importe.
Le mauvais temps du mois d'avril avec ces longues periodes de pluie, n'ont pas facilité le travail, certes le gazon à poussé mais les mauvaises herbes également.
Le potager début du mois
Le potager fin de mois. En raison du mauvais temps seul les oignons, ails, achalottes, radis et carottes ont été planté. J'ai également commencé a stocker une partie de mon bois de chauffage.
Le coin semis a permis de repiquer quelques fleurs. C'est sans compter tous les semis entreposés dans ma petite serre et dans ma maison au chaud pour le plus grand plaisir de mon épouse.
J'ai enfin trouvé à moindre coût la solution pour faire des retenues de terre le long des fossés. Jusqu'alors une seule partie est faite avec des morceaux d'accacias .
il s'agit de planches de chêne rabotées de différentes longueurs achetées dans une scierie au m3.
En espérant que le chêne resistera a l'humidité
J'en est profité pour faire également plusieurs passerelles en chêne pour traverser les fossés
Depuis l'acquisition du terrain j'ai recreusé plusieurs fois le fossé jusqu'au fond du terrain mais je n'ai toujours pas réussi a réaliser une pente douce. Le fait de travailler dans le fossé transforme le fond en boue ce qui qui crée des zones de stagnation.
J'ai consacré énormément de temps pour la plantation. Pas pour la plantation propre dite mais pour trouver l'endroit qui bien souvent n'était pas nettoyer.
Je disposais déjà de quelques plantes de mon jardin précédent, boutures que j'avais et semis en cours.
Mais une grande partie provient de très très gentils donateurs avec qui j'ai lié une excellente amitiée grâce au site Graines et Plantes sur internet.
J'en profite une fois de plus de les remercier infiniment d'autant que pour la plupart nous ne nous connaissons pas
Pour l'anecdote j'ai fait connaissance avec une de ces personnes qui m'a invité chez lui pour me donner des bambous et miscanthus. . La photo du pied de bambous à gauche n'est qu'il infime partie de ce que j'ai ramené, je puis vous dire que la plus jolie des autostoppeuses m'aurait supplié de l'enmener, impossible, chaque recoin de mon auto était rempli de plantes. Merci Patrick.
J'ai quelques inquiétudes mon pied de gunnera n'a toujours pas poussé, il est vrai qu'il n'y a pas eu beaucoup de soleil et les nuits de la 1ère quinzaine étaient entre 2 et -2°
Le muret n'est toujours pas terminén dans quelques jours je dois charger une remorque de plusieurs tonnes de pierres qui me seront livrées. Encore des problèmes de dos en perspective.
J'ai commencé une haie gourmande, groseillers, cassis casseille, et framboisiers dès que j'aurai fait une barrière anti rhizomes.
A l'aide de quelques tôles j'ai réalisé un composteur de 2m3. J'ai planté une bonne partie des piquets et posé une 50m de m de grillages.
Essai d'une barrière en plessis avec du saule, Je ne suis pas satisfait du résultat mais je ferai mieux la prochaine fois.
La vue panoramique ne change pas beaucoup mais si le soleil décide de s'installer de la couleur devrait enjoliver la photo.
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Par gilwro le 2 Avril 2012 à 20:49
Je pense que je ne suis pas prêt d'oublier le mois de mars 2012.
J'ai passé plus de 3 semaines à travailler du matin au soir dans mon terrain.
Beaucoup de fatigue, mais grande satisfaction, ça commence à prendre forme.
Le gazon est semé sur la moitié avant de la surface labourée.Le gazon est également semée dans les allées du potager.
Les oignons, ails, échalottes sont plantés. Les premires radis commencent à sortir du sol.
Nous n'avons pas eu de pluie durant le mois de mars. Le soleil était bien présent la 2ème quinzaine mais les nuits ont été froides, régulièrement entre 2° et -4°.
J'ai beaucoup travaillé sur les abords des fossés ou les mauvaises herbes sont particulirement présentent.
L'année dernière j'ai acheté des bulbes de crocus sativus pour faire du safran. Le bulbes n'aiment pas trop d'humidité. J'ai décidé de faire un plessis rectangulaire réalisé avec du noisetier. Il sera rempli de terre et surelevé d'envtron 40cm. Ce procédé utilisé au moyen âge redevient à la mode. J'ai fait quelques essais de petites barrières décoratives tressées en noisetier et le résultat est très joli.
Les magasins ont leur arrière boutique, moi j'ai mon arrière jardin. Stockage de terre, chassis pour les semis
J'ai amenagé a droite des pierres un emplacement qui me tient fort à coeur ou va pousser un gunnera. Rhubarde géante. Malheureusement il faut attendre 3/4ans pour avoir un pied conséquent.
Gunnera Manicata. Hauteur 3 mètres
Il me manque encore beaucoup de pierres mais le muret est déjà bien avancé. J'ai dû récupérer de la terre à différents endroits du terrain pour combler derrière le muret. J'ai commencé d'ailleurs les plantations sur une partie de la longueur.
Mon premier pensionnaire. Un bambou Nigra (Bambou noir)
Bien pratique les ficelles pour délimiter les allées gazonnées.
Je commence a voir beaucoup de curieux qui trouvent l'endroit bien changé.
Le gazon commence a lever, le manque d'eau a beaucoup retarder la pousse.
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Par gilwro le 2 Mars 2012 à 23:44
L'hiver n'étant pas une période propice au jardinage, j'ai profité néanmoins de quelques moments de températures supportables et surtout courage pour avancer un peu dans mes travaux.
En novembre j'ai coupé en forêt de l'acacia pour faire une centaine de poteaux pour une future clotûre grillagée.
A certains endroits on peut pratiquement les enfoncer à la main.
Lorsque j'ai du courage à l'aide de ma petite remorque, je vais chercher des pierres pour mettre en façade.
A gauche descente largeur 2m pour l'accès, au milieu murée décoratif pour retenir la terre, a droite descente 3m de large. ( Passage pour un tracteur pour mon bois de chauffage).
J'ai commencé à solliciter des entreprises de maçonnerie pour mon remblai.
La retenue de terre avec de l'acacia est terminée, le fossé a été agrandi. J'imagine déjà les fleurs tout le long .
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Par gilwro le 10 Février 2012 à 23:47
Depuis 2007 je me suis pris de passion pour le jardinage.
N'ayant pas suffisamment de place dans mon terrain, j'ai pu disposer d'un terrain à 50m de chez moi de 400m2 à l'abandon depuis quelques décennies et qui m'a été prêté par la commune. A force de persévérance j'ai pu nettoyer l'endroit et commencer un potager.
Mon intérêt était surtout de faire mes semis moi-même. Quel plaisir de voir l'évolution de ses plantations. Très vite j'ai planté des fleurs pour casser la monotonie de ces rangées de légumes qui soit dit en passant n'est pas d'un très grand goût artistique.
Au printemps, été 2011, la végétation était principalement axée sur les fleurs, ce qui m'a valu de nombreux compliment de la part des promeneurs.
C'est de là qu'à commencer à murir l'idée d'avoir un jardin à moi.
A l'arrière de nos habitations sur quelques kilomètres carré il y a une zone boisée appelé le marais. Ces lopins de terre étaient entretenus jusque dans les années 60/70 sur une profondeur entre 50 et 100 mètres. Les femmes allaient au lavoir, chaque riverain avait son potager, les fossés étaient nettoyés. Plus en profondeur de cette zone chaque propriétaire plantait des peupliers. Aujpurd'hui à part quelques jardins entretenus sur 30 à 40 mètres de profondeur,cette zone est à l'abandon, il est d'ailleurs dangereux de s'y aventurer seul.
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Par gilwro le 10 Février 2012 à 23:42
Depuis plus d'un an j'ai pris quelques contacts pour essayer de trouver un terrain a acheter en bordure du chemin qui longe ce marais. Ces terrains entretenus ou pas sur une profondeur de 30 mètres environ sont légèrement humides. Ensuite lorsque l'on s'enfonce dans le marais, l'eau est a quelques centimètres de profondeur.
J'ai contacté un monsieur possédant un terrain à l'abandon qui a accepté de me le vendre.
Après vérification le terrain ne faisait que 8,50 mètres de large sur 70 mètres de long, et au delà des 30 premiers mètres la zone était trop humide. Pour moi la surface était trop petite.
Juste à droite il y avait 2 terrains abandonnés dont le propriétaire avait une petite partie cultivée. Je suis allé le voir pour lui faire part de ma recherche de terrain. 8 jours après j'ai eu une réponse favorable, il acceptait de me les vendre.
Il s'agit d'un terrain de 9 mètres sur 70 mètres et de 6,50 mètres sur 45 mètres, dont une partie boisée.
La superficie totale des 3 lots est de 1400 m2.
Le terrain commence après le massif de fleurs qui se trouve au centre de l'image.
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