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Fère en tardenois, ville de 3285 habitants est située en Picardie dans le département de l'Aisne.
Patrie de Paul et Camille Claudel, cette petite ville possède quelques curiosités très appréciées par les touristes.
Comme les villes ayant un passé historique chargé, les ruines du château mérite le détour.Office de tourisme du Tardenois
La halle fût construite au XVI ème siècle. Sous le règne d'Anne de Montmorency elle abritait le marché au grains. Durant la guerre 14-18 elle fût transformée en hôpital. Aujourd'hui elle abrite le marché.
Le parc des Bruyères avec ses 2 plans d'eau, lieu de détente et de pêche. Curieusement on trouve dans la région du sable et du grès.
Ruines de la forteresse construite en 1206 par Robert le Dreux. La particularité de cette construction c'est la butte artificielle sur laquelle a été édifié le château avec ses 7 tours. En 1528 le roi François 1er en fait don au connétable Anne de montmorency qui transforme la forteresse en résidence.
En 1779, Philippe l'Egalité fait démolir le château. Depuis 2001 l'édifice fait l'objet d'une restauration.Le chateau actuel du XVII ème siècle occupé par un hôtel de charme bénéficie d'une vue magnifique sur les ruines de la forteresse.
Vue arrière du complexe hôtelier.
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IMPORTANT
Je reçois régulièrement des mails
de demande de devis ou information concernant la bambouseraie.Je ne connais pas le propriétaire. J'ai uniquement réalisé cet article après une visite de la bambouseraie.
Merci de contacter le propriétaire
ou appeler l'office du tourisme de Fismes.Sortie du 1er août 2012
La bambouseraie du Mépas à Fismes - Marne de Monsieur Hury est un lieu de visite qui ne laisse pas indifférent.
La maison de Monsieur Hury est située au milieu d'un parc de 15 000 m2. Plus de 40 variétés de bambous, de nombreux arbres et fleurs agrémentent ce lieu de visite peu commun.
Le père de Jean Marie Hury, militaire de carrière dans les années 1946 avait été impressionné par les bambous en Indochine. C'est lors d'une visite à la bambouseraie d 'Anduze que tout a commencé. C'était il y a plus de 20ans
Bambouseraie du Mépas 12, rue d'Epernay 51170 Fismes
Visite sur rendez_vous Tél: 0326481214 - 0680181515Ces phyllostachys viridiglaucescens ont été planté en 1997. Entrer dans un sous bois de bambous donne une sensation de bien être et de calme.
Les chaumes ont de 6 à 8 cm de diamètre pour environ 12 mètre de haut
Plusieurs variétés de bambous nains entourent ce bassin ou des carpes koi nagent parmi les nénuphars.
Ces jolis bambous jaunes ont un gros succès avec ces motifs assez surprenants
Il s'agit de phyllostachys aureosulcata aureocaulis mesurant environ 5 à 8 mètres de haut pour un diamètre de 4cm
Chimonobambusa tumidinoda
Hibanobambusa tranquillans "shiroshima"
Pleioblastus distichus
Pleioblastus fortunei
Un bambou cespiteux, le pleioblastus chino élégantissimus
Page d'accueil Menu "Bel endroit fleuri"
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L'histoire de Jadav Payeng prouve qu'avec de la volonté on peut remettre notre terre sur le bon chemin
Source Courrier internationnal
A lui tout seul, Jadav Payeng a fait pousser une vaste forêt sur un banc de sable de 550 hectares situé au milieu du fleuve Brahmapoutre.
Le site compte désormais plusieurs animaux dont l’espèce est en voie de disparition, dont au moins cinq tigres. Une femelle a eu deux petits récemment.
L’endroit se situe à Jorhat, à 350 kilomètres de route de Guwahati, et il n’est pas facile d’accès. Il faut quitter la voie principale et prendre une petite route sur une trentaine de kilomètres pour arriver au fleuve. Là, avec de la chance, on trouve des bateliers pour passer sur la rive nord. Après 7 kilomètres de marche, on arrive près de chez Payeng. Les gens du coin appellent cet endroit Molai Kathoni (“le bois de Molai” – d’après le surnom de Payeng).
Tout a commencé en 1979. Des crues avaient rejeté un grand nombre de serpents sur le banc de sable. Après le retrait des eaux, Payeng, qui n’avait que 16 ans, trouva le site couvert de reptiles morts. Ce fut le tournant de sa vie. “Les serpents étaient morts de chaleur, il n’y avait pas d’arbres pour les protéger. Je me suis assis et j’ai pleuré sur leurs corps sans vie. C’était un carnage. J’ai alerté le ministère des Forêts et leur ai demandé s’ils pouvaient planter des arbres. Ils m’ont répondu que rien ne pousserait ici et m’ont dit d’essayer de planter des bambous. C’était dur mais je l’ai fait. Il n’y avait personne pour m’aider”, raconte Payeng, qui a désormais 47 ans.
Le jeune homme quitta ses études et son foyer, et se mit à vivre sur le banc de sable. Contrairement à Robinson Crusoé, il accepta volontiers cette vie d’isolement. Et non, il n’avait pas de Vendredi. Il arrosait les plants matin et soir et les taillait.
Au bout de quelques années, le banc de sable est devenu un bois de bambou. “J’ai alors décidé de faire pousser de vrais arbres. J’en ai ramassé et je les ai plantés. J’ai aussi rapporté des fourmis rouges de mon village : les fourmis rouges changent les propriétés du sol. J’ai été piqué plusieurs fois”, raconte Payeng en riant. Bientôt, toute une série de fleurs et d’animaux s’épanouirent sur le banc de sable, y compris des animaux menacés, comme le rhinocéros à une corne et le tigre royal du Bengale. “Au bout de douze ans, on a vu des vautours. Les oiseaux migrateurs ont commencé à arriver en masse. Les daims et le bétail ont attiré les prédateurs”, déclare Payeng, qui s’exprime comme un écologiste chevronné. “La nature a créé une chaîne alimentaire : pourquoi est-ce qu’on ne s’y tient pas ? Qui protégera ces animaux si nous, les êtres supérieurs, nous nous mettons à les chasser ?”
Le ministère des Forêts de l’Assam n’a entendu parler de la forêt de Payeng qu’en 2008, lorsqu’un troupeau d’une centaine d’éléphants sauvages s’y est réfugié après avoir ravagé les villages voisins. Ils ont aussi détruit la cabane de Payeng.
C’est là que Gunin Saikia, conservateur assistant des forêts, a rencontré Payeng pour la première fois. “Nous avons été surpris de trouver une forêt aussi dense sur le banc de sable. Les gens du coin dont la maison avait été détruite par les pachydermes voulaient abattre ce bois, mais Payeng leur a dit qu’il faudrait le tuer d’abord. Il traite les arbres et les animaux comme si c’étaient ses enfants. Quand on a vu ça, on a décidé de contribuer au projet, raconte-t-il. Payeng est incroyable. Ça fait trente ans qu’il est là-dessus. Dans n’importe quel autre pays, il serait un héros.”
(The Times of India)
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Un mois de juillet particulier avec beaucoup d'eau
L'ultimatum des 40 jours de pluie de St Barnabé c'est terminé le 18 juillet et la pluie a quasiment disparu.
Les récoltes potagères sont revues à la baisse de façon massive. Les tomates ont attrappé le mildiou.
Durant la première quinzaine, beaucoup moins de présence au jardin en raison de la pluie et un peu d'écoeurement.A la mi juillet le soleil est enfin arrivé. Le moral est au beau fixe, mais la chaleur ne permet plus de rester toute la journée dehors.
Tout travail mérite récompense, j'ai crée un endroit détente
Petite surélévation en pierre, un peu de terre, quelques plantes autour et du gazon à l'automne.
et un peu de mobilier.
En raison des fortes pluies, les mares d'eau étaient fréquentes a l'arrière du terrain, j'ai fait un essai de chemin délimité par des planches. Le résultat est concluant.
Il reste encore quelques planches, autant continuer. j'en profite pour faire une barrière anti rhizome pour le phyllostachys nigra
Nettoyage, bêchage et récupération de terre pour mon allée.
La partie gauche de la façade est un peu plus présentable.
La floraison à enfin commencé
Tournesol
Satisfait de mes semis de dahlias. Anisodontea
Bouquet de fleurs
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Pour ajouter dans ma rubrique "Jolis coins de France", j'ai eu un réel coup de coeur pour cette magnifique vidéo nous faisant découvir les beautés de cette région.
7 minutes d'images plus belles les unes que les autres accompagnaient d'une superbe musique
Musique composée spécialement pour ce documentaireUne rubrique dans le forum est crée pour recevoir vos commentaires
5 commentaires -
INSTITUT POUR LA PROTECTION DE LA SANTE NATURELLE
Abeilles: Le massacre autorisé
Cliquez ici pour voir la vidéo
et signer la pétition
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